Association Stéphane Lamart : Stop aux tribarts !

Depuis 18 ans, l’association Stéphane Lamart s’occupe de la protection animale. Qui de mieux pour nous en parler que… Stéphane Lamart en personne. Le fondateur de cette assos’ éponyme est défenseur des animaux de naissance, jamais avide d’aider un compagnon égaré sur son chemin. Au travers de l’interview, il nous montre ses convictions fortes même si elles peuvent être à contre courant et ce qu’est un engagement de tous les instants quitte à fortement empiéter sur sa vie professionnelle et personnelle.

« J’ai sacrifié ma vie professionnelle au service des animaux »

1/ Après un début dans la police, la défense de la veuve et de l’orphelin, c’est maintenant les animaux que vous protégez. Qu’est-ce qui vous a poussé à opérer ce changement à ce moment là de votre vie ?

J’ai toujours aimé les animaux et voulu les défendre. Le déclic a eu lieu au cinéma devant le film : Sauvez Willy. En effet, à la fin du générique il y avait marqué : pour soutenir telle organisation et un numéro de téléphone. J’ai appelé, c’est de là que l’aventure a commencé. Pour moi, là où je peux vraiment aider nos amis les bêtes, c’est sur le plan juridique. Alors, je me suis tourné dans un premier temps vers la police nationale qui me semblait répondre parfaitement à mes attentes (droit, pénal…).

Il faut savoir que durant ma vie, j’ai toujours été confronté à un animal sur mon chemin. Naturellement, je l’emmenais chez le vétérinaire, ce qui causait de nombreux retard et ma direction n’était, de fait, pas très ravie. Ce qui est légitime évidemment. Fort de mon expérience sur le droit des animaux que je maîtrisais en partie grâce à mon association, j’ai souhaité, à un moment donné au sein de ma corporation (la police), faire état de la problématique des chiens de roms. Ca n’a pas plus. Plusieurs personnes ont estimé que j’avais manqué à mon devoir de réserve. C’est faux ! J’ai contesté cette décision au tribunal administratif et j’ai obtenu gain de cause. Je devais légitimement réintégré la police nationale, mais ma révocation était actée toujours sur ce même motif. Dans la police, c’est très difficile d’avoir des passions qui nous mettent en avant et avec l’association Stéphane Lamart, c’était forcément incompatible. Pour qu’une association existe et soit reconnue, la médiatisation est indispensable. Lorsque j’effectuais une interview pour un quelconque média, je devais informer mes supérieurs, c’est la règle. Sauf que je considère qu’il y a la vie professionnelle et personnelle ! Comme cette activité rentre dans le deuxième cas, je ne voyais pas l’intérêt de cette procédure. Pendant quelques années, j’étais donc policier et défenseur des animaux. Ma mission est celle-là depuis ma naissance, tout simplement !

2/ La création d’une association n’est pas sans risque, notamment financièrement parlant, et c’est fort de vos 4.000 adhérents que l’aventure est possible. Mais, n’avez-vous pas eu peur de vous lancer dans une telle entreprise ? Il existe de multiples associations qui font de l’abandon et la maltraitance leur combat. Par exemple, la SPA. Certes, la vôtre a été reconnue d’utilité publique, ce qui permet de recevoir des donations et des legs, mais cela ne pose t’il pas de difficulté pour se faire connaître même si la concurrence n’existe pas dans ce milieu ?

Il y a toujours une possibilité d’agir ! Le fait d’être dans un cadre associatif permet d’avoir des moyens financiers et évite en principe la concurrence. Malheureusement, à partir du moment où l’Etat vous accorde le statut d’utilité publique, les autres associations vous voient comme des concurrents. Ce qui est catastrophique et scandaleux à mes yeux puisque l’animal victime de mauvais traitement s’en fiche de savoir qui lui vient en aide. En protection animale, on est complémentaire : il y a tellement de sujets et d’actions à mener qu’une seule association ne peut pas être sur tous les fronts. Chaque association est utile. Nous, on ne s’interdit aucun sujet et c’est pourquoi, nous n’avons pas hésité à attaquer le préfet de Paris pour la vente de poissons rouges lors de fêtes foraines. Pour vous dire, si je gagnais à l’Euromillions, je reverserais bien évidemment l’argent pour les animaux, mais on n’arriverait pas à tout faire tellement la misère est omniprésente. Vous avez pleins d’associations de quartier qui agissent dans l’ombre et qui font un travail remarquable. Je n’oublie pas non plus qu’avant d’être présent sur tout le territoire, j’ai été ce genre d’association qui s’est développé et s’est donné les moyens pour arriver à ses fins. J’ai sacrifié ma vie professionnelle au service des animaux, en quittant la mairie de Paris, en étant révoqué de la police suite à une campagne intitulée : « Mais que fait la police sur le trafic des chiens de roms à Paris », pour lequel j’ai finalement obtenu un décret que je désirais tant. Il faut savoir s’écouter et mon cœur me dit que c’est ça ma vie, m’occuper des animaux les plus démunis. Je me rends disponible pour cette cause même quand la police m’appelle en pleine nuit pour aller récupérer un cheval dans les rues de Montreuil !!

3/ Lorsque l’on évoque ce type d’associations, on s’attend toujours à retrouver un refuge quelque part. Là encore, c’est le cas avec une ferme des orphelins qui se trouve en Normandie et que vous avez retapé de fond en comble. Sur votre site, vous dîtes employer 4 personnes et plusieurs bénévoles qui sont présent quotidiennement pour s’occuper des chiens, mais quid des NAC (nouveaux animaux de compagnie) ? Je note que vous évoquez la possibilité d’ouvrir le refuge aux chats, est-ce toujours d’actualité ?

On s’occupe déjà indirectement de toutes sortes d’animaux. Cela va de la vache aux poissons ! On n’y pense pas lorsque l’on passe devant un champ, mais les agriculteurs peuvent aussi abandonner leurs bêtes. C’est dramatique. On verrait un chien dans un pré, on crierait à l’abandon. Pour un animal de la ferme, c’est moins visible.

A Boissy-St-Léger, au siège social, on a fait l’acquisition de nouveaux locaux (pour atteindre une surface de 140 mètres carrés) afin d’accueillir tout le personnel et également des animaux, notamment les NAC (lapins, gerbilles, tortues…) ! Il nous est arrivé de récupérer des poissons que les propriétaires avaient laissés sur le pas de notre porte (toujours mieux que de les jeter aux toilettes en passant !). Des chats abandonnés se baladent dans nos locaux et ont même une salle aménagée pour leur confort (avec arbres à chat etc.). Ces derniers vont ensuite être donnés au fil du temps. On adopte la stratégie des nouvelles start-up américaines qui favorise le bien-être et l’efficacité au bureau. En ce qui concerne le refuge, la chatterie fait aussi partie des projets et on va s’attarder à le réaliser.

4/ Quand une personne appelle pour un signalement, quelle est la procédure qui se met en place, vérifie-t-on les propos, se rend-on toujours sur place ?

Lorsque l’on reçoit un signalement pour des faits de mauvais traitement ou des actes de cruauté, on se doit de vérifier la source et on demande, aux personnes qui relatent les faits, de nous faire une attestation, un mail pour expliquer en détail ce qu’ils ont pu voir ou entendre. On va ensuite s’intéresser aux éventuelles photographies avant d’envoyer un enquêteur bénévole sur place. Il va questionner le voisinage, mener son enquête, faire un rapport d’intervention avec des photographies et/ou vidéos supplémentaires pour attester ou non de la véracité des faits. Parfois, il peut demander la venue des forces de l’ordre pour qu’il constate par eux-mêmes et quand l’association déposera plainte, ce dernier rapport viendra appuyer nos dires. Si les mauvais traitements sont confirmés, l’enquêteur va s’annoncer directement au propriétaire. En fonction des maltraitances, on rentre soit dans une réponse à l’amiable, soit on poursuit judiciairement l’auteur des faits et on demande, auprès du Procureur de la République, la saisie de l’animal.

_ Si un animal est récupéré où le place-t-on ?

On va le placer dans un refuge ou une famille d’accueil, en prenant en compte son comportement et son traumatisme éventuel. Un chien battu sera mieux dans un cadre familial aimant pour récupérer la confiance de l’homme. Si l’état psychologique de l’animal est compatible avec un placement en refuge, on le mettra plus facilement dedans. Vous conviendrez aisément que ce n’est pas la même prise en charge.

5/ Justement, à ce sujet, qui et comment peut-on devenir enquêteur ou famille d’accueil (y a-t-il des pré-requis comme l’âge ou autres) ?

Il n’y a pas d’âges pour devenir bénévole et s’occuper du chat ou aller promener le chien. Toutefois, une personne mineure doit être accompagnée de ses parents. Par contre, le rôle d’enquêteur est strictement réservé aux majeurs pour pouvoir déposer plainte (seul) contre une personne et des faits de mauvais traitement. D’ailleurs, Il est préférable d’avoir le permis même si ce n’est pas obligatoire.

Pour la famille d’accueil, il suffit d’en faire la demande et que nos équipes vérifient la sécurité ainsi que l’engagement sérieux et responsable des personnes présentes dans ce domicile.

« Mon rêve est que le fait de tuer un animal soit aussi condamnable que de tuer un homme »

6/ Vous dîtes apporter des conseils aux fonctionnaires des forces de l’ordre, mais est-ce qu’en retour, ces derniers vous prennent toujours au sérieux ?

On progresse et c’est important, car si on ne prend pas au sérieux les gens qui viennent déposer plainte, des dérives gravissimes sont possibles. Et croyez moi, je parle en connaissance de cause. Il y a quelques années, une personne a abattu son voisin qui avait pendu son chat. Avant d’en arriver à de telles extrémités, l’homme s’était rendu au commissariat qui ne l’a pas pris au sérieux. Aujourd’hui, si sa demande avait été entendue, le voisin serait encore vivant. C’est une histoire horrible que l’on ne peut cautionner, mais qui nous montre l’intérêt que certains prêtent à leurs animaux et à la vraie justice qui doit exister. De nos jours, le droit des animaux est de plus en plus pris en considération grâce au média en partie. C’est en cours d’amélioration. Par contre, ce sujet n’est pas abordé dans les écoles de police et de gendarmerie, ce qui est dommage puisque les animaux font partie du quotidien. C’est pourquoi, j’ai monté un fascicule nommé « Les Procédures d’enquêtes » qui recense les principaux articles de loi, les décrets, les arrêtés etc. A chaque fois que l’on fait une enquête avec les forces de l’ordre, on leur remet ce livret pour qu’il circule dans les services et finisse par former le plus de monde possible.

7/ Vous vous emparez de cette grande cause, qu’est la maltraitance animale et contrairement à d’autres, vous mettez un point d’honneur à porter sur un pied d’égalité le sauvetage d’un animal autant que la réponse juridique. La justice doit être rendue pour les animaux, sans exception, et ce, au même titre que les hommes ; c’est votre dicton. Pour ce faire, vous vous rendez souvent au tribunal en tant que partie civile lors des audiences consacrées à ces sujets. En moyenne par an, c’est 150 dossiers juridiques, 75  procès pour 630 animaux défendus (source site). Avec cette expérience emmagasinée, trouvez-vous en général que les peines requises soient justes ?

De plus en plus. Lorsque j’étais plus jeune, je me permettais d’envoyer des cartons rouges au procureur et j’ai même offert le code de procédure pénale à une magistrate qui voulait restituer le chien à son propriétaire, alors qu’il l’avait maltraité. Moi, je désirais logiquement la saisie du chien sur l’article 99 -1 du code de procédure pénale. Elle m’avoue alors ne pas le connaître, étant donné son statut, j’ai trouvé cela dérangeant. Il y a 10 ans, l’euro symbolique était de rigueur dans ce type d’affaire, pas de quoi faire réfléchir la personne ! Systématiquement dans ces situations, nous faisons appel. Il faut bien comprendre que c’est une réponse juste que nous attendons et qui va permettre deux choses. La personne va peut-être réagir et prendre conscience de son comportement inacceptable et nous, on va médiatiser l’affaire et la condamnation. Du coup, les gens vont se dire qu’on ne peut pas agir impunément sur son animal. En somme, cela éduque les gens. Les associations de protection animale comme la SPA ou encore l’association Brigitte Bardot le disent : lorsque l’on est capable de torturer un animal, on est capable de le faire sur un humain ! C’est donc un problème qui nous concerne tous, ce ne sont pas que des faits divers isolés.

8/ Vous n’éludez aucun sujet, même ceux auxquels on ne penserait pas de prime abord. Ainsi, vous dénoncez le problème des mendiants qui utilisent un animal pour apitoyer les passants ou encore l’abatage rituel qui induit une très forte souffrance pour l’animal. L’intérêt de votre site réside en partie ici, découvrir que la maltraitance animale ne s’arrête pas à nos animaux de compagnie. Pour autant, d’autres sujets peuvent sembler moins concernant comme la défense des pigeons. Dans ces conditions, comment fait-on pour mobiliser et alerter l’opinion publique ?

Je suis en train de voir comment sensibiliser la justice en France pour qu’elle soit équitable pour tous : l’homme et l’animal y compris ! Mon rêve est que le fait de tuer un animal soit aussi condamnable que de tuer un homme.

J’ai une confiance innée dans la nouvelle génération qui se préoccupe davantage de ces sujets. De toute manière, ça ne peut qu’aller dans l’amélioration. On doit sans cesse être dans ces combats « originaux » qui peuvent faire parler et, donc, bouger les choses. Pour vous dire, j’interdis à mon avocat de porter sa robe qui est composée de fourrure. Expliquez-moi comment un avocat peut plaider la défense des animaux en portant une souffrance sur lui ? Les autres associations ne vont pas jusque là, moi, c’est mon rôle. Je vais essayer de demander que les avocats ne portent plus ce style de robe. Actuellement, j’essaye, sous forme de carte, de référencer tout le mal qui est fait aux animaux dans le monde entier. Rendre ces initiatives publiques est indispensable pour mettre le pied à l’étrier des politiques en espérant des réactions fermes et précises. Dans beaucoup de pays, même européens, ils existent des rituels inadmissibles ! On tue des animaux pour jouer, pour le spectacle. C’est affligeant.

9/ Vos combats sont multiples et c’est tout naturellement que vous prenez fermement position contre ces spectacles qui jouent avec la vie de ces êtres vivants. Les corridas, les cirques et les zoos sont montrés du doigt par une bonne partie de la population qui juge cela scandaleux. Pourtant, rien ne change (*). Toutefois, certaines victoires sont à souligner. En effet, les delphinariums vont progressivement être interdits grâce à un arrêté pris par l’ancienne ministre de l’écologie Ségolène Royal ; avez-vous contribué à ce résultat ?

On y contribue d’une certaine façon avec nos manifestations, nos distributions de courriers, nos attaques (en justice) répétées contre eux. Malheureusement, il y a eu un arrêté du conseil d’état qui annule la décision de Ségolène Royal concernant la reproduction dans ces centres aquatiques. On ne perd pas espoir, on observe la réponse apportée par le nouveau ministre de l’écologie Nicolas Hulot à cette décision et on avisera en conséquence.

Pour les spectacles qui utilisent des animaux, oui, c’est très choquant et je sais que ça ne se réglera pas en un jour. Pour beaucoup, cela fait partie d’une tradition. Or, comme je le disais plus haut, les « millenials » sont moins en phase avec ces coutumes anciennes et ils vont contribuer à enrayer ces pratiques abjectes. De nos jours, qui rentre dans les arènes pour assister à des mises à mort ? Les pères et mères de famille qui viennent en famille. Quand vous ressortez, vous voyez la détresse des jeunes enfants. A ce sujet, on est en train de travailler sur une interdiction d’accès aux mineurs pour les préserver des ces images chocs. Par ailleurs, il me semble important que les mairies arrêtent d’acheter les places pour les offrir à ces administrés, car c’est à cause de ça que ça existe toujours. Néanmoins, je note que ça peut jouer en leur défaveur dans le sens où les personnes peuvent être choquées et finir par en parler négativement autour d’elles.

Là où le combat va être compliqué en France, c’est la religion, notamment avec L’aïd el-kebir (la fête du sacrifice) qui prend de plus en plus d’ampleur. C’est un problème qu’il faut prendre en considération. L’aliment halal et casher provoque une souffrance atroce et inutile à l’animal. Nous militons pour l’étourdissement systématique des animaux sans qu’aucune exception ne soit tolérée en fonction de telle ou telle pratique religieuse. Ainsi, une association coup de poing comme L214 qui fait un travail remarquable va avoir un rôle essentiel à jouer sur les animaux de boucherie. En effet, l’alimentation reste le sujet numéro un. Il existe des alternatives, mais moi, je suis radical : je défends et prône le végétarisme comme mode de consommation.

10/ Je reviens sur la prévention, car c’est un sujet primordial. Aujourd’hui et malgré les nombreux spots de pubs diffusés, les abandons ne faiblissent pas. A votre avis, à quoi est-ce dû et comment y remédier durablement ?

Je suis né en 1981, j’ai donc 36 ans. J’ai commencé la protection animale dès mes 10 ans avant de fonder mon association à 18 ans. Depuis l’âge de mes 10 ans, j’entends toujours les mêmes chiffres à savoir 100.000 par an. Je pose la question à toutes ces associations ; comment faîtes-vous pour avoir ces chiffres ? Moi, Stéphane Lamart, je me dis : c’est génial, le chiffre est stable ! Je vous le dit, ces chiffres sont erronés. J’ai écrit au ministère de l’agriculture pour qu’il appelle tous les refuges de France en leur disant : combien d’animaux avez-vous récupéré cette année, entre le 1er janvier et le 31 décembre ? J’attends la réponse…

Par contre, là où je peux rejoindre mes collègues, c’est sur la période de l’été où les abandons sont effectivement plus fréquents. La cause est simple : les hôtels et campings qui n’acceptent pas les animaux, les déménagements où le chien n’a plus sa place, une perte sur son lieu de vacances, mais le numéro et l’identification de l’animal n’est pas à jour/en règle. Parfois, les animaux sont juste égarés, mais on ne retrouve pas le propriétaire. Tout ça pour dire qu’il nous faut de véritables statistiques pour baser notre communication dessus. Si on se rend compte qu’il y en a beaucoup plus, on démontre l’utilité de notre association. A l’inverse, si le chiffre est moins conséquent, il suffit de dire : grâce à nous, les abandons diminuent. Souvent dans les médias, on évoque l’abandon des chats et des chiens qui progressent cet été par rapport à l’année dernière, nous on ne fait pas de distinction, on prend en compte tous les animaux ! Il n’y a pas une race plus importante qu’une autre, car chaque être vivant a le droit au respect et à une égalité stricte. L’année dernière, notre association a contribué à 184 adoptions, ce qui démontre l’importance de cette cause !

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    • * Lorsque la contradiction existe, il est important de le souligner. Pour les plus curieux ou les défenseurs chevronnés des animaux, vous pouvez poursuivre votre lecture sur le sujet avec l’excellent article d’Aline qui traite de la fin des cirques à Strasbourg : https://newvoradio.fr/la-fin-des-cirques-animalier-a-strasbourg/
    • Ceux qui ont été les plus courageux, à savoir, ceux qui ont lu l’intégralité de l’interview (déjà, bravo !) ont le droit à une récompense… L’explication du terme tribart. C’est une entrave attachée au cou des animaux afin de réduire leur mobilité. Le titre dénonce ainsi, les violences et la maltraitance que l’on se permet d’avoir sur les animaux… et puis, on apprend un nouveau mot de vocabulaire, ce n’est pas plus mal !

 

 

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